E-commerce et équitation: La Sellerie de Mae

Entremêlé d’un souhait d’indépendance, de retour aux sources et par passion pour l’équitation, Soraya lance son activité en 2009 avec La Sellerie de Maé. Cette entreprise familiale, soutenue par trois générations de femmes, ouvre ses portes dans le sud de la France cette année-là.
L’essor du e-commerce du matériel d’équitation l’amène rapidement à développer son activité en ligne. De là, un vrai challenge s’impose : faire face à un nouveau marché de sellerie en ligne en pleine expansion. Après une étude de marché et de benchmarking approfondie, le besoin de gérer sa stratégie tarifaire tout en surveillant les pratiques de ses concurrents devient une évidence.

Sa décision: utiliser une solution de veille tarifaire automatisée!

Selleries en ligne et période Covid-19

La crise de la Covid-19 en Mars 2020 oblige les magasins physiques à fermer. PriceComparator a observé une baisse de -13% de ventes en ligne sur l’ensemble du secteur de selleries e-commerces. A titre personnel, La Sellerie de Mae a vu ses ventes divisés par 2 fin Février, puis une augmentation progressive et constante, contrairement à son concurrent principal (Padd). Sur toute l’année 2020, la Sellerie de Maé a multiplié ses ventes par 10 et a réalisé une progression de +833%, soit la meilleure évolution de performance de son marché. Mais quels sont les secrets de cette percée: comment cette sellerie en ligne a réussi à booster son e-commerce et a se distinguer de ses concurrents?

Booster son e-commerce

L’automatisation de sa veille tarifaire lui permet d’être plus réactive aux changements de prix de ses concurrents. Elle met en place sa stratégie tarifaire online et ancre son business model en 2018-2019. Pour cibler sa clientèle jeune, elle met à jour régulièrement son catalogue produit en proposant des nouveautés et des marques tendances (Cavalleriatoscana, Penelope Leprevost, GEM, Le Sabotier, etc.). Son objectif : proposer de la nouveauté et des prix toujours plus attractifs pour ses clients passionnés !

Petit à petit, le besoin d’un boost marketing devient essentiel, mais surtout possible.

Développer des stratégies marketing

Une fois la veille concurrentielle intégrée à sa stratégie tarifaire, du temps a pu être consacré dans la mise en place de pratiques marketings complémentaires. L’importance des liens entre les stratégies tarifaires et les stratégies marketing devient une évidence. L’analyse des opérations marketing et commerciale de ses concurrents permet d’anticiper ses propres campagnes : newsletter, promotions d’articles et marques, marronniers, etc.

En parallèle, la mise en place d’une veille des performances commerciales lui montre en temps réel les effets des actions du marché. Une fonctionnalité qui lui permet aussi d’évaluer les effets de ses propres actions commerciales, de les anticiper, selon les périodes de l’année.

Avril 2020, au cœur du premier confinement, La Sellerie de Maé boost son marketing et sa communication :

• Refonte et valorisation du site e-commerce
  • Design et identité visuel du site web
  • Campagne SEO
  • Nouveautés et marques tendances misent en avant
• Déploiement de communications digitales
  • Rassurer sur la préparation des colis et leur livraison en période Covid-19
  • Cibler une clientèle jeune : boost Insatagram (proposer des jeux concours, faire appel à des ambassadeurs, etc)
  • Personnaliser ses newsletters
• Fidélisation de sa clientèle
  • Offres personnalisées
  • Priorité à un service client optimal (retours et conseils produits, suivi des livraisons)

Par ailleurs, la mise en place du Click&Collect pendant les confinements lui a permis d’étendre davantage ses ventes en ligne sans délaisser ses clients fidèles au magasin physique.

Pourtant perturbés par un 2ème confinement, les périodes du BlackFriday et de Noël ont été une réussite ! Des promotions plus basses qu’en 2019, mais plus ciblées lui ont permis de booster ses ventes en valorisant au maximum ses marges.

Des actions synonymes de réussite! En effet, fin 2020 cette sellerie en ligne a pris la 4^ème position de son marché. Ces parts de marché sont gagnées à long terme !

Réussite visible à long terme

Les articles d’équitation vendus en ligne et les selleries e-commerce sont de plus en plus nombreux. Avec une progression de presque +12% de licences délivrées entre 2019 et 2020, l’équitation poursuit son élan de popularité. Mais ce phénomène sociétal est devenu un réel marché porteur pour les commerces et services équins.

La Sellerie de Maé en est un bel exemple par l’évolution exponentielle de son activité. L’initiative d’une veille concurrentielle complète avec PriceComparator lui a donné la possibilité de booster son activité en ligne. En plein déploiement d’une stratégie globale, Soraya nous a confié vouloir “embaucher de nouveaux collaborateurs afin de gérer la progression de la vente en ligne en privilégiant la qualité du service client”. Un point essentiel de sa réussite : son engagement, sa passion et son dévouement pour son entreprise et ses clients !

Vous aussi, commencez dès maintenant l’aventure PriceComparator !

L’importance de tenir une veille stratégique :

Avec la mondialisation et Internet, de nombreuses entreprises sont présentes sur le web. Les sites
e-commerce pullulent et il devient de plus en plus difficile de se faire une place.
Les évolutions des modes de consommation confirment que les achats sur Internet ont de beaux jours devant eux. Le bilan des ventes sur Internet en France au 1^er trimestre 2017 est estimé à 20 milliards d’euros soit plus de 14,2% par rapport au premier trimestre 2016. Les Français sont plus de 36 millions à acheter en ligne. Le panier moyen trimestriel d’un acheteur en ligne est de 650 euros pour 9 transactions (Source : FEVAD).
Il est donc impératif de collecter des informations de manière permanente sur la concurrence afin de réagir en temps réel. Cette réactivité va permettre à l’e-commerçant d’être référencé en tête de liste dans les comparateurs de prix et cela va lui permettre d’augmenter ses ventes.
Surveiller chaque jour des centaines, voire des milliers de prix et références sur les sites de ses concurrents ou sur les marketplaces est tout simplement impossible ! Heureusement, il existe des solutions logicielles comme PriceComparator qui font ce travail à notre place !

Qu’est-ce qu’un logiciel de veille tarifaire et concurrentielle ?

Ces solutions en SaaS (Software as a Service) sont des logiciels en ligne qui ne nécessitent aucun téléchargement et sont relativement simple à prendre en main. Une fois la liste des magasins à surveiller fournie à votre prestataire de veille concurrentielle, il n’y a plus aucune intervention car tout est configuré automatiquement. Il n’y a plus qu’à attendre chaque jour le rapport d’alerte notifiant les changements de prix : Qui est devenu le moins cher ? Qui s’est aligné sur mon prix ? Quels prix dois-je remonter tout en restant le moins cher ? Ce sont autant de réponses que vous apportent ces solutions.
La mise en place d’une surveillance en ligne automatisée permet d’être réactif, de gagner du temps et donc de l’argent ! L’innovation technologique permet toujours un traitement de l’information plus pertinent et plus rapide qu’avec un humain : cela donne tout son sens à la notion de « price intelligence ».

Il existe plusieurs types d’abonnements pour bénéficier de ces solutions. Tout est automatisé et ces offres permettent de disposer d’un outil de veille tarifaire personnalisé et efficace.

Grâce à l’extraction automatique des données, il est possible de dynamiser de manière considérable la croissance de votre entreprise. Par ailleurs, les données collectées dans le temps vous permettront d’acquérir un historique d’activité afin d’améliorer votre compréhension de la politique tarifaire des acteurs de votre marché.
Il s’agit donc d’un investissement qui peut vous rapporter gros à court comme à long terme.

Pour découvrir la nouvelle version de cet article et accédez à des chiffres clés plus récents cliquez ci.

Dans le secteur de la vente en ligne de matériel de golf, PriceComparator a observé une baisse globale des ventes de -21% au début du premier confinement. Le leader du marché a vu ses ventes journalières baisser de -46%. Celui occupant jusqu’alors la 4ième position avait au contraire augmenté ses ventes de plus de 215%. Retrouvez l’analyse de l’ensemble des secteurs e-commerces dans notre article de blog.

Comment expliquer ces variations de ventes entre revendeurs du même secteur ? Qu’en est-il de la situation autour de ce deuxième confinement ? Apporte-t-il un nouveau lot de contraintes ? Ou permet-il de rebondir et d’apprendre des expériences du premier semestre 2020 afin de saisir des opportunités ?

Que nous dit cette deuxième vague?

En cette période de Black Friday et d’achats de Noël, PriceComparator a relevé que la vente en ligne d’articles de golf a baissé de -10% par rapport à 2019. Concernant le nombre de nouvelles licences, leur nombre a baissé de -9,4% pour 33 sports olympiques. Le golf, quand à lui, minimise sa chute avec une baisse de seulement -3,39%.  À la suite du premier confinement, il a été constaté un regain d’intérêt pour ce sport qui permet distanciation sociale et activités de plein air. 

Concernant le e-commerce, on peut également observer l’apparition de nouveaux comportements de consommation. Un tiers des acheteurs en ligne affirment avoir changé leurs habitudes d’achat avec le confinement. Actuellement, l’autorisation du Click&Collect est une mesure qui incite les commerçants à engager ou accélérer leur transformation digitale. Ce mode de retrait en magasin facilite surtout les achats en ligne pour les consommateurs qui apprécient leurs commerces de proximité (7 consommateurs sur 10 d’après la Fevad).

Analyse des stratégies adoptées en plein confinement:

Suite aux restrictions annoncées mi-mars, les commerçants ont dû faire évoluer leurs stratégies marketing et commerciales pour pallier la fermeture des magasins physiques.

Se démarquer et saisir les opportunités : Comment passer de la 4ème place à la 1ère en parts de marché en pleine période de crise ?

Grâce à une veille concurrentielle automatisée, ce e-commerçant a pu identifier les actions marketing qui marchent ! Il a réussi à tripler ses ventes en adaptant sa communication et son service client. Nous partageons avec vous les secrets de cette réussite :

• Envois plus fréquents de newsletters 2-3 par semaine (contre 1 par semaine en mars 2019 et 1 envoyé par ses concurrents)
• Sélection d’offres ultra compétitives : Promotions sur les produits sur lesquels il est assurément bien placé en prix par rapport aux concurrents
• Communication et stratégie de produit adaptées : Ton rassurant vis à vis des mesures barrières et mise en avant de produits dans ses Newsletters permettant la pratique du golf en intérieur !

Adapter sa stratégie et gagner des parts de marché

Le maintien de l’activité, une communication adaptée, des offres commerciales sur des produits utiles en intérieur mais aussi un ajustement des conditions de livraisons offertes ont été des stratégies gagnantes face à la situation de crise. Ce e-commerçant, capable de répondre à la demande, a absorbé les ventes des concurrents adoptant une stratégie de repli.

Ce e-commerçant est passé de 4ème à 1er en parts de marché pendant le confinement. Plus étonnant encore, il est parvenu à maintenir sa prise de parts de marché après déconfinement ! Avec une hausse de 108% de ses ventes depuis la mi-mars, il maintient sa stratégie et réussit à se stabiliser en 3ème position. Avec des outils adaptés, le confinement s’est transformé pour lui en superbe opportunité business !

Les enseignements du 1er confinement

Grâce à des outils de veille dédiés au marketing, le leader du marché a pu se rendre compte, mesurer et comprendre les raisons de la performance de son concurrent lors du premier confinement. 

Fort de ces informations stratégiques, le leader du marché a ainsi pu s’adapter lors du second confinement : face aux nouvelles mesures de restriction annoncées fin octobre, il a su valoriser sa posture. Il a communiqué sur les essentiels du golf indoor, il fait des promotions adaptées et a insisté sur le maintien de ses livraisons. Au final, il parvient à retrouver sa place de leader et garde désormais un œil permanent sur son outil de veille concurrentielle… Cet expérience s’est transformée en session d’apprentissage durable et gagnante.

 De la nécessité de la transition digitale des commerçants

en passant par les outils de veille

L’expérience du premier confinement nous a montré que le monde digital est omniprésent. La transition numérique devient indispensable à la survie de certains commerces. La priorité est de s’adapter aux nouvelles tendances et aux contraintes de la crise : valoriser la vente en ligne est clairement la clé de la prochaine croissance économique. Un plan d’accompagnement à la numérisation des commerçants a d’ailleurs été publié par le gouvernement début novembre.

Avec la digitalisation de tous les commerces qui est en cours, l’offre en ligne est en croissance exponentielle. Il devient difficile pour les e-commerçants de savoir ce qui se passe dans son secteur d’activité sans outil automatisé. Les acteurs déjà en place se font bousculer par de nouveaux acteurs et les nouveaux acteurs redoublent d’innovation pour atteindre leurs cibles.

« Si vous ignorez les produits sur lesquels votre concurrent a baissé ses prix chaque jour pour rester compétitif ; si vous ignorez le dernier code promo qu’il vient de publier sur son site pour le contrer dans la journée ; ou encore si vous ignorez le contenu de la dernière newsletter de votre concurrent pour établir la vôtre en conséquence, alors vous êtes en danger de perte de parts de marché… »  – Directeur d’un e-commerce majeur du secteur Golf

De nouveaux comportements apparaissent sur le marché du e-commerce et augmentent la compétition entre les acteurs. Cette étude de cas nous a montré que la veille concurrentielle est indispensable pour une adaptation gagnante. Le e-commerce poursuit son essor et les stratégies marketing et commerciales se doivent d’évoluer avec lui.

Coronavirus et tendances e-commerce : analyse comportementale

 

Comportement d’achat

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les dépenses en ligne ont aussi reculé. Les consommateurs ont dans un premier temps priorisé les besoins physiologiques avec une hausse de la part de marché du commerce alimentaire (9,5% en période de confinement). Mais pour autant, les secteurs du divertissement comme les jeux vidéo ont également augmenté, avec +11% de ventes en mars 2020 par rapport à 2019. Les ventes des jeux de société ont quant à elles augmenté de 83% entre le 16 mars et le 22 mars.

 

Étude Bankin

L’application de gestion de budget Bankin a analysé les revenus de plus de 450 000 utilisateurs sur la période comprise entre le 17 mars et le 7 avril par rapport à la période comprise entre le 18 février et le 10 mars et a émis les chiffres suivants :

• Les utilisateurs touchants entre 900 et 1700 euros ont enregistré une chute de 13,7% de leur budget.
• Les revenus compris entre 1700 et 2500 euros connaissent une baisse similaire avec -13,4 % de budget.

Pour ces deux tranches les achats ont diminué de 29%.

• La tranche d’utilisateurs ayant des revenus compris entre 2500 et 3300 euros connaissent la baisse la moins forte : – 5,6%.

Les achats de ces personnes ont reculé de 22,4%.

En période de stress comme la nôtre, il est normal de voir ce genre de comportement. Les achats deviennent plus réfléchis et les consommateurs priorisent des biens utilisables à l’instant T. Néanmoins, le secteur de l’alimentaire permet au drive de se développer. Par ailleurs, les livraisons à domicile réalisées par les distributeurs généralistes ont atteint 45% au premier trimestre 2020, contre 24% en 2019. Ces nouveaux comportements devraient perdurer dans le temps et être favorables au e-commerce.

Coronavirus : Nouvelles tendances e-commerce 

Bilan au 24 avril 2020

 

Près d’un tiers des français effectuent des achats en ligne durant cette période. Les secteurs les plus impactés sont la mode et l’équipement de la maison. D’une manière globale les ventes avaient fortement chuté lors de la première semaine de confinement. PriceComparator avait enregistré une baisse générale des ventes journalières de -14% avec des secteurs plus impactés que d’autres.

Environ 18% des sites e-commerce ont toutefois enregistré des chiffres à la hausse. A titre d’exemple, un de nos clients dans le secteur du golf a triplé ses ventes pendant cette période. Les raisons ? Une stratégie webmarketing bien calibrée (emailings, FAQ, promotions et livraisons gratuites) combinée à un arrêt des ventes en ligne du leader. Notre client Convergence.Direct, 1^er groupe français d’intégrateur en télécom et réseaux, a triplé les visites sur son site et obtient une belle croissance sur la période. Les équipes ont constaté une nouvelle clientèle liée à la mise en place du télétravail. Par ailleurs, l’urgence de la situation dans les CHU et les EPHAD a modifié leurs modes de fonctionnement. Ces derniers soucieux de gagner du temps, ne passent plus par les appels d’offres.

Coronavirus : Infographie des dernières tendances e-commerce

Comme vous pouvez le constater dans cette infographie, les tendances des ventes en e-commerce sont optimistes. En effet, les ventes augmentent à nouveau et reviennent à la normale. Seule exception, les sports d’hiver arrivés en fin de saison. La période située entre le 14 avril et le 22 avril a été la plus forte avec + 33% de ventes quotidiennes pour la plongée et les sports d’hiver. Le secteur de l’équitation a lui augmenté ses ventes de + 23% sur la période et de + 48% sur la période globale de confinement.  Le secteur de la lingerie impacté à -25% de ventes au 23 mars connait une hausse considérable avec + 60% d’achats quotidiens. L’annonce du gouvernement sur la date de déconfinement qui devrait avoir lieu le 11 mai semble avoir eu des répercussions positives sur le commerce.

En tant que commerçant, vous devez rassurer vos clients en proposant par exemple des frais de livraisons gratuits ou réduits. Vous pouvez aussi allonger les droits de rétractations à 30 ou 60 jours pour tenir compte des difficultés actuelles. Enfin, n’oubliez pas de COMMUNIQUER !

Inquiétudes et perspectives  

Bien que 40% des entreprises estiment qu’elles ne pourront pas survivre au-delà de 3 mois, nous avons constaté que de plus en plus de commerçants en ligne souhaitent reprendre leurs activités. Expert du digital, 82% de ces derniers pratiquent le télétravail tout en maintenant un minimum d’activités logistiques. Les craintes qui ressortent le plus sont liées à la chaîne d’approvisionnement et aux rallongements des délais de livraisons. Selon la FEVAD, 29% des sites interrogés enregistrent des annulations de commandes en lien avec les délais de livraison mais également pour des raisons de déficits budgétaires dans les foyers.

 

Le e-commerce a généré en 2019 près de 103 milliards d’euros de chiffres d’affaires pour 1,7 milliards de transactions enregistrées. Pour rappel, en 2018, les marketplaces pesaient 52% de part de marché dans le e-commerce mondial. La crise sanitaire entraîne une réorganisation du commerce en ligne avec l’arrivée de places de marché locales. Par ailleurs, le 14 avril, le tribunal judiciaire de Nanterre a restreint Amazon France à limiter ses activités aux produits de premières nécessités sous peine de sanctions. Le géant a fait appel et menace de fermer ses entrepôts français. De son côté, Google souhaite aider les commerçants en leur donnant accès gratuitement à Google Shopping. Cette offre sera accessible très prochainement aux États-Unis puis dans le reste du monde d’ici la fin d’année.

Pour conclure

Cette crise sanitaire demande une agilité et un réajustement des systèmes déjà en place. Les solutions à la crise demeurent particulièrement difficiles à organiser mais elles permettront sans doute de rééquilibrer la balance entre les différents acteurs du e-commerce. Par ailleurs, cette mouvance est un excellent accélérateur pour favoriser la digitalisation des entreprises. Les ventes en ligne ont encore de beaux jours devant elles !

Durant cette première période de confinement, nous constatons que le Coronavirus impacte de manière inégale le e-commerce.

En effet, les besoins physiologiques prennent le dessus sur les autres. Le cabinet d’étude Nielsen a ainsi constaté des ventes records dans la grande distribution. Sur la semaine du 2 au 8 mars, c’est plus de 164 millions d’euros de chiffres d’affaires qui ont été relevés avec une augmentation des commandes Drive de 61%. ContentSquare a enregistré une hausse de 17% du secteur parapharmacie et de 15% du secteur High Tech. Le confinement a engendré le télétravail et l’école à distance, ce qui explique également la hausse dans ce secteur.

Dans son rapport, SimilarWeb met en avant les divergences entre plusieurs géants du secteur e-commerce. Amazon est un des acteurs le moins impacté par le virus tandis que le trafic sur les plateformes C to C s’effondrent : LeBonCoin enregistre une baisse de 17% de son trafic par rapport à janvier. Le géant asiatique Aliexpress connait quant à lui une diminution de 28% de son trafic.

Chiffres clés PriceComparator

Qu’en est-il des secteurs du textile, des loisirs sportifs, du bricolage … ? A partir de son module PERF, PriceComparator a analysé en profondeur plus d’une cinquantaine de sites e-commerce sur 7 secteurs d’activités entre le 6 mars et le 23 mars et a constaté une baisse globale de 14% sur les ventes journalières.

Sur l’ensemble des sites e-commerce analysés, seulement une dizaine est parvenue à maintenir une stabilité des ventes ou à les augmenter. Le secteur de la plongée connait une baisse de ses ventes journalières de 17% et plusieurs sites ont stoppé leurs activités. Par ailleurs, le domaine de la glisse a accusé – 29% de ventes sur la période, celui de l’équitation -13% et le ski -43%. Ce dernier secteur est à la fois impacté par la saisonnalité de ses ventes et la crise sanitaire.

Bien que la tendance générale pour le golf soit de -21%, certains acteurs ont su s’adapter et ont obtenu des résultats spectaculaires. Vous les trouverez plus bas dans l’article. De son coté, l’équipementier sportif Décathlon a obtenu des résultats positifs avec une croissance à deux chiffres (ndlr: évaluation chiffrée en interne). Nous pouvons supposer qu’il existe une tendance réelle pour les activités d’intérieur telles que le yoga, le vélo d’appartement, la lecture ou encore la peinture… Par ailleurs, les sites capables de répondre à la demande ont absorbé celle des concurrents indisponibles pour manque de stock, de personnel ou par stratégie (perdante) d’immobilisme.

Le textile, en particulier la lingerie, connait également une baisse de son chiffre d’affaires. Les leaders sont autant impactés que les autres vendeurs avec une baisse générale de 25% de ventes chaque jour depuis le confinement. Enfin, PriceComparator a également constaté une baisse dans les secteurs du bâtiment et du bricolage. Par exemple, les ventes de la miroiterie ont baissé de 32% en partie dû aux clients professionnels eux même impactés par la crise.

D’une manière générale l’incertitude économique générée par cette période freine la consommation. Néanmoins, il est encore possible pour les e-commerçants de revoir leur stratégie et de proposer des alternatives pour améliorer le quotidien confiné de leurs clients. Ils peuvent ainsi transformer cette période de tension en réelle opportunité business même si à priori leur secteur d’activité ne s’y prête pas !

E-commerce et Coronavirus : quelles solutions ?

Nous avons observé une situation particulièrement intéressante dans le secteur du golf. Alors que le leader du secteur a vu ses ventes quotidiennes chuter de -46% suite à une annonce d’arrêt des livraisons, celui habituellement en 4^e position a vu ses ventes augmenter de plus de 215% ! Ce client de PriceComparator a parfaitement saisi les enjeux de cette période et a su tirer profit de la situation. Dans un premier temps, l’incapacité de livrer de ses concurrents lui a permis d’absorber la clientèle potentielle de ces derniers. En parallèle, cet e-commerçant a adopté un ton rassurant dans ses communications et a prouvé le maintien de son activité. En effet, il a intensifié ses campagnes emailing et a ajusté son discours et son offre au contexte : « Entraînez-vous à domicile », « Restez au chaud et profitez des promos ».

Les études sur l’impact du Coronavirus dans le secteur du e-commerce ont montré que le trafic est toujours présent mais que les taux de conversion sont faibles. Il est donc indispensable de rassurer ses visiteurs et ses clients potentiels sur les modes et les délais de livraisons. Par ailleurs, la livraison offerte peut être un argument de plus en leur faveur dans ce contexte. Leur communication doit être adaptée : pourquoi ne pas mettre en avant des produits et services que les clients pourraient utiliser chez eux en intérieur ? Si cela n’est pas possible, peut-être pouvez-vous suggérer l’achat de livres pour les former ou les divertir…

Face à l’incertitude, la confiance est l’élément clé pour convertir des visiteurs en clients. Le discours commercial doit être en corrélation avec leur état d’esprit actuel. Décathlon a mis en avant sur sa page d’accueil le fait d’être aux côtés de ses clients depuis plus de 40 ans et propose en complément du contenu ludique et sportif via son application. De plus, le site propose une FAQ (Foire Aux Questions) dédiée à la gestion des commandes en temps de crise. Pas étonnant que Décathlon connaisse une hausse de ses ventes même si la fermeture des ses magasins physiques n’est absolument pas compensée par les ventes en ligne.

Quels impacts sur l’expédition et la livraison des colis ?

Face à une diminution du personnel, les entreprises sont parfois confrontées à un ralentissement de leur activité logistique avec des délais de livraison rallongés. La Poste a annoncé que la distribution du courrier sera effectuée sur 3 jours au lieu de 6 habituellement dès lundi 30 mars. Par ailleurs les e-commerçants doivent s’adapter puisque la livraison en points relais est suspendue. Pour assurer la sécurité des livreurs et des clients, de nouvelles mesures de livraisons sans contacts sont appliquées. Le gouvernement a élaboré une liste de bonnes pratiques pour garantir le respect des gestes barrières. L’objectif étant de limiter au maximum les contacts humains.

E-commerce Nation vous propose un point complet sur les différents services de livraison.

En tant que professionnel, veuillez assurer la sécurité de vos salariés pour des raisons éthiques mais également économiques puisque vous avez besoin d’eux pour continuer à travailler. Il est également indispensable d’indiquer clairement sur votre site web que les délais de livraison risquent d’être rallongés. Pensez aussi à mettre à jour vos modules de livraison et à désactiver les livraisons par points relais. Là encore, la confiance et la transparence sont des atouts pour la gestion de votre relation client.

Quelles mesures de soutien aux entreprises ?

Mesures globales

Pour limiter l’impact du Coronavirus, l’État envisage un plan de soutien de plusieurs milliards d’euros. En outre, le gouvernement met en place des mesures immédiates telles que :

• Des délais de paiement d’échéances fiscales et sociales (URSSAF, impôts directs)
• Des remises d’impôts directs
• Un report du paiement des loyers et factures d’eau, de gaz et d’électricité
• Une aide de 1500 € pour les petites entreprises
• Des prêts de trésorerie garantis par l’État : 300 milliards d’euros mobilisés
• La mise en place d’une médiation de crédit pour négocier avec sa banque un rééchelonnement des crédits bancaires
• La simplification du dispositif de chômage partiel

Retrouvez tous les détails sur le site du gouvernement.

Mesures spécifiques aux commerçants

Pour permettre aux commerçants de poursuivre leurs activités, les ventes en ligne restent autorisées. Le gouvernement a lancé un appel aux acteurs du numérique pour inciter les commerçants touchés par le Coronavirus à se lancer dans le e-commerce avec des offres dédiées.

Parmi les acteurs ayant déjà proposés leurs aides, vous pouvez retrouver :

• Les éditeurs de sites marchands Prestashop et Wizishop
• Les solutions de paiement Lydia et Paylib
• Les solutions de logistique et de livraison Cubyn, DHL et Stuart
• Et un grand nombre de marketplaces comme Cdiscount, Ebay, Le Bon Coin, Rakuten …

Retrouvez toutes les infos sur economie.gouv.fr et sur le site de la FEVAD.

Par ailleurs, les prestataires de services numériques qui ont la volonté de soutenir l’activité des TPE et PME peuvent demander le référencement de leurs offres sur francenum.gouv.fr.
PriceComparator a également mis en place une offre dédiées à aider les e-commerçants à se démarquer de leurs concurrents dans cette période de confinement et surtout pour préparer la reprise d’activité qui va s’en suivre (pour plus d’information sur nos offres dédiées, contactez nous) En effet, tous les analystes prévoient une concurrence acharnée et une redistribution des parts de marchés à l’issue du confinement. Il apparait essentiel de se préparer à cette reprise avec les bons outils de veille concurrentielle tels que PriceComparator.

Pour conclure

Cette crise sanitaire historique va changer le monde de bien des manières. En effet, elle a montré les défaillances de notre système notamment sur la supply chain et notre dépendance envers des régions ou des pays très éloignés (notamment la Chine).

Ce virus met en évidence les enjeux environnementaux et nous pousse à innover dans nos modèles économiques. L’aspect positif de cette période, c’est qu’il faut en tirer des leçons et s’entraider en créant de nouvelles opportunités de business.

Ce type d’évènement nous montre l’importance de conduire nos stratégies avec agilité et anticipation !
Pour toute information ou conseil sur votre stratégie en lien avec votre secteur d’activité, vous pouvez nous contacter.

En 2020, les ventes sur mobile devraient atteindre 17,5 milliards d’euros, et le double l’an prochain. Cette croissance de +95% entre 2018 et 2020 exprime l’importance exercée par le mobile sur les marques et les e-commerçants. Aujourd’hui, le canal mobile représente près de 40% du chiffre d’affaires total des sites e-commerce. Preuve de son importance, ces-derniers adaptent leurs designs aux mobiles pour fluidifier la navigation des utilisateurs. Et, in fine, augmenter le taux de satisfactions des internautes globaux. Ainsi, 63% des e-commerçants mondiaux optimisent leur site avec du responsive design.

D’autres solutions et tendances se dévoilent, comme les applications natives. Elles représentaient, en 2017, 54% des ventes mobiles en Europe, d’où l’intérêt croissant pour le développement de celles-ci. Les applications sont le nouveau moteur de nombreux commerçants, avec des taux de conversion trois fois plus élevés que le web . C’est le cas dans le secteur de la cosmétique, qui connaît une proportion de vente de 34%. PriceComparator a déjà publié un article à ce sujet, à découvrir en cliquant ici.

En France, la tendance mobile connaît le même succès qu’à l’international. 57% des consommateurs déclarent en effet procéder à des achats avec leurs mobiles. C’est d’ailleurs le support de paiement préféré pour près d’un tiers d’entre-eux. Les jeunes restent cependant les cyberacheteurs les plus actifs, particulièrement dans la catégorie des 25 – 34 ans.
Les commerçants français sont, quant à eux, au-dessus de la moyenne internationale dans l’optimisation de leurs sites, puisque 65% s’en préoccupent. En outre, une branche bien particulière du m-commerce se développe à grande vitesse : le social shopping.

Une nouvelle tendance : le social shopping

Depuis deux ans, les marques ont entrepris de nouvelles stratégies afin de se rapprocher de leurs clients, dont notamment les stratégies omnicanales. Pour ce faire, elles ont décidé de s’implanter sur les réseaux sociaux, et intégrer la dimension sociale dans leurs stratégies. Le nombre d’utilisateurs croît de jour en jour, et leurs interactions se multiplient en permanence. Les utilisateurs, suite à l’achat d’un produit, partagent régulièrement leurs avis sur les réseaux sociaux. L’impact sur les autres internautes est direct, influant directement sur la crédibilité d’une marque et sa visibilité. De là découlent des suggestions, envoyées directement ou non aux consommateurs, et ainsi de suite. Cette tendance s’est confirmée en 2019, puisque 30% des acheteurs mondiaux « shoppaient » via les réseaux sociaux. Celui-ci représentait d’ailleurs près de 30% du business en ligne chinois.

Ce cercle itératif représente une part importante de l’« expérience shopping » à l’ère du digital. Le consommateur moyen est désormais influenceur et influencé. Les proches ne sont pas pour autant exclu de ce système, bien au contraire : leur rôle est d’autant plus important. Selon une étude Nielsen, 92% des personnages suivent l’avis de leurs proches.

Ces plateformes sociales offrent donc la possibilité aux marques de s’implanter et toucher directement le consommateur. 

En bref, les réseaux sociaux permettent de réunir en un seul endroit :

• La dimension sociale de l’achat
• Les nouveaux acteurs – apparaissant comme des intermédiaires psychologiques entre le consommateur et la marque
• L’utilisation des données pour personnaliser les communications
• Un grand catalogue de produits
• Les avancées technologiques …

Une mine d’or d’informations pour les marques

Les données, ou data, sont une source d’informations premières pour les marques. Depuis plusieurs années, elles sont au centre de débats éthiques, d’affrontements politiques, et même de guerre mondiale.

Parmi ces législations, les marques continuent à récupérer des données afin de parfaire leurs communications et leurs relations avec les consommateurs. Le m-commerce se présente alors comme une immense opportunité d’exploiter ces données et proposer des produits, suggestions, ou conseils entièrement personnalisés. Cette opportunité fait suite aux nouvelles pratiques en termes de mobile : le temps passé devant l’écran augmente considérablement. Les jeunes, particulièrement technophiles, sont les cibles principales. Ces-derniers apprécient particulièrement les nouveaux modes de communications (stories, vidéos interactives …), et 80% déclarent que ces formats génèrent un fort attachement.

Ces données servent également à analyser le comportement de l’utilisateur. Bien que le responsive soit déployé sur la plupart des sites e-commerces actuels, le temps de chargement reste un problème majeur, et particulièrement sur mobile. 40% des utilisateurs abandonnent d’ailleurs un site qui prend plus de trois secondes à charger, selon Facebook. L’adaptative design remplace ainsi le « responsive », et solutionne les deux problèmes. Désormais, un modèle d’affichage pour chaque type d’écran, et des temps de chargement adaptés en fonction du support. Ainsi, en proposant une navigation rapide et fluide, les marques comme les e-commerçants fidélisent les consommateurs très rapidement.

La technologie au service du mobile commerce

Grâce au smartphone, le mobile commerce se développe, et profite des nouveautés technologiques pour agrémenter son offre. Une des plus attendues est la réalité augmentée. Elle se trouvera désormais en magasin, pour vous accompagner pendant votre déambulation à travers les rayons, mais également pour vous proposer de visualiser un produit avant de l’acheter. Ce support direct à la décision d’achat devrait largement impacter les ventes physiques, et développer d’autant plus le « web to store ». En 2019, un site e-commerce permettait d’augmenter de 14% le chiffre d’affaires d’un magasin marchand.

Cependant, l’AR (Augmented Reality) n’est pas la seule innovation attendue sur le m-commerce. La cryptomonnaie devrait devenir la monnaie la plus courante lors des transactions mobiles : plus simple à utiliser, plus rapide, plus sécurisée. Si elle est encore limitée, elle tend à se démocratiser sur mobile dans les années à venir.

D’autres fonctionnalités devraient également faire leur apparition :

• La recherche vocale : déjà existante, elle est intégrée dans la plupart des applications, et propose des produits e-commerce lors des recherches. Alexa d’Amazon et Google Home proposent également des produits des marketplaces respectives des deux géants américains. En 2020, 50% des recherches internet seront effectuées par recherche vocale.
• Le marketing de proximité : grâce aux datas récupérées sur les utilisateurs, les marques peuvent cibler géographiquement les consommateurs. La relation entre site internet et magasin physique, qui est complémentaire pour 89% des PME, devrait se développer encore davantage dans les prochaines années.
• Les chatbots : près de 85% des interactions clients seront réalisés par des chatbots d’ici la fin de l’année 2020. Plus performants, plus complets, ils répondront aux demandes des internautes.

Pour conclure

Le mobile commerce apparaît comme un support au service de tous. Les mobinautes profitent d’une expérience utilisateur en constante amélioration, de paiements en ligne qui se simplifient et se sécurisent en permanence, et des informations (et publicités) adaptées et entièrement personnalisées. Les sites e-commerces, comme les marques, récupèrent de nombreuses informations sur les consommateurs pour mieux appréhender leurs relations clients (avant, pendant, et après l’achat). Ils parviennent ainsi à agrandir leur audience, communiquer de manière plus efficace, et améliorer le brand reputation.

Il se place désormais comme un marché promis à un grand avenir dans les années qui viennent. Preuve en est, il se développe trois fois plus vite que l’ensemble du e-commerce.

Pour la deuxième fois, PriceComparator sera présent au salon Viva Technology 2019. L’évènement aura lieu à Paris, Pavillon de Versailles du 16 au 18 mai 2019. Pour cette quatrième édition, la startup PriceComparator sera présente sur le stand du Village By CA. Durant trois jours, découvrez les startups qui vont révolutionner le monde de demain !

Quelques chiffres sur l’édition 2018 :

• 100 000 participants
• 9 000 startups
• 1900 investisseurs
• 2000 exposants
• 300 partenaires
• 23 Labs d’open innovation
• Plus de 300 speakers du monde entier

Le Village By CA présent à Viva Technology

La mission principale du Village by CA est de mettre en relation les startups avec leurs divers partenaires grands groupes et ETI. Viva Technolgy s’inscrit donc dans cette dynamique et c’est la raison pour laquelle 26 villages ont répondu à l’appel. 117 startups des Villages ont candidaté pour 48 places. Les heureux élus auront l’honneur d’être présents sur le stand du Village By CA. Ils bénéficieront d’une visibilité qui leur permettra d’interagir avec de multiples acteurs : clients potentiels, investisseurs, journalistes … Les startups sélectionnées évoluent dans des secteurs d’activités multiples. Retrouvez sur ce lien la liste des startups sélectionnées cette année. Grâce à son logiciel de veille tarifaire innovant, PriceComparator a eu le plaisir d’être sélectionné !

Viva Technology 2019 : Où retrouver PriceComparator ?

Il s’agit de la deuxième année consécutive où PriceComparator participe au salon. En effet, en 2018, la start-up avait été sélectionné par la CCI Store pour présenter sa solution.  Sébastien BERNIS, CEO et Founder de PriceComparator sera présent à Viva Technology le jeudi 16 et vendredi 17 mai 2019.Vous pourrez échanger avec lui sur votre stratégie on-line, découvrir et tester en live la solution de veille concurrentielle automatisée. PriceComparator se caractérise comme la solution tout en un ! L’outil permet à ses utilisateurs d’avoir facilement accès aux technologies Big Data pour croître leur business. Les e-commerçants, marques et fabricants répertorient une multitude d’informations sur un seul dashboard. Ils bénéficient en temps réel d’une analyse complète de leurs prix, stocks, produits, promotions et bien plus !

Où nous trouver ?

Paris Expo Porte de Versailles
Le jeudi 16 et vendredi 17 mai 2019
De 9h à 18h
Stand B44-016

Pour conclure, Viva Technology 2019 est avant tout un rendez-vous annuel dédié aux professionnels. Il s’agit d’une occasion unique d’améliorer et d’optimiser son business grâce aux innovations proposées. Viva Technology est l’occasion de découvrir toujours plus de nouvelles technologies, d’innovations, de pitchs de startups, pour un univers 100% digital !

Pour la première fois PriceComparator participera au salon Medpi. Celui-ci se tiendra à Paris, à l’espace Paris Centre Convention du 2 au 4 avril 2019. Durant 3 jours, les acteurs de la distribution grand public rencontreront des marques et des fabricants du secteur high-tech. L’occasion pour PriceComparator de renforcer sa notoriété auprès de ces derniers.

Nouvelle formule pour le salon MedPi

Autrefois organisé à Monaco, le salon MedPi se situe désormais en île de France. Crée en 1996, il s’agit de sa 25e édition. Pour l’ensemble des prescripteurs et des décideurs du marché high-tech, le salon se caractérise par son statut de rendez-vous d’affaires privilégié. En 2018, la nouvelle formule de MedPi a rassemblé plus de 1068 acheteurs et 120 journalistes. Cette année, plus de 14 000m² seront consacrés aux univers du Gaming, du Son, de l’Image, des IT, des Objets connectés… L’occasion pour les visiteurs de découvrir en avant-première les principales nouveautés à venir ! Par ailleurs, pour répondre aux divers enjeux des secteurs d’activités représentés, de nombreux ateliers, conférences et workshops seront organisés

MedPi : le salon high-tech français incontournable ?

Un certain nombre de grands acteurs de la distribution grand public comme Auchan, Carrefour, Amazon, Rakuten ou en encore Cdiscount seront présents. Le MedPi est un véritable rendez-vous d’affaires dédié aux nouvelles technologies. En effet, tout comme le CES de Las Vegas et l’IFA de Berlin, le MedPi est une étape intermédiaire importante. La start-up PriceComparator se dit enthousiaste de partir à la rencontre de tous ces acteurs. Elle ambitionne d’étoffer son carnet de contacts et désire présenter les avantages considérables à automatiser sa veille. Du 2 au 4 avril, PriceComparator proposera aux professionnels de découvrir et de tester son logiciel de veille tarifaire.

Le SaaS PriceComparator a-t-il sa place au MedPi ?

PriceComparator développe spécifiquement sa solution pour les marques/fabricants et pour les e-commerçants. En effet, les besoins exprimés ne sont pas les mêmes. Il est donc indispensable de créer des outils capables de répondre aux attentes clients. Le logiciel innove constamment. PriceComparator est le premier acteur de son secteur à éco développer sa solution. De plus, une deuxième version du SaaS est prévu pour septembre 2019. Pour une veille concurrentielle toujours plus pointue, de nouveaux modules seront proposés. L’équipe technique a également retravaillé le design pour offrir une expérience utilisateur optimale.

Vous souhaitez rencontrer et échanger avec PriceComparator sur le salon MedPi ? Retrouvez-les du 2 au 4 avril au Paris Convention Centre, hall 7.3 – stand H66 !